Proposer un programme éducatif visant à sensibiliser les enfants et les adolescents (âgés de 6 à 15 ans) aux conséquences somatiques et psychologiques de l’obésité. Ce programme devrait être développé par des professionnels de la santé tels que les médecins et les psychologues, dans le but de le distribuer au sein des écoles, dans le but de lutter contre le harcèlement scolaire et la discrimination.

Investir dans le sport, créer des moyens de veiller à ce que les personnes handicapées ne soient pas exclues. Créez des bourses pour les athlètes d’élite inscrits à l’université, assurez-vous que vous pouvez poursuivre une double carrière (sport et études) et leur donner la possibilité de le faire (tuteurs et inscription en ligne). Veiller à ce que le sport ne semble pas prendre du temps, mais quelque chose d’utile pour le bien-être des citoyens.

Il est important de laisser aux enseignants et aux enseignants une plus grande latitude en ce qui concerne les règles que les étudiants doivent suivre, mais ils sont presque toujours discriminants à l’égard des personnes handicapées. Par exemple, j’ai souffert d’une maladie chronique depuis 6 ans, de sorte qu’il est très difficile de respecter les règles de fréquentation. Même lorsque je suis un bon étudiant et que je fais ce que je dois faire, j’échoue toujours aux cours en raison de ces désagréments qui s’appliquent à tous. Toutefois, une moindre fréquentation n’aura pas d’incidence sur la signification de mon diplôme universitaire. Les handicaps ne sont pas toujours visibles ou connus. La maladie chronique est également un handicap. Veuillez donc leur accorder davantage de droits au lieu de devoir se battre pour une autre chance ou quoi que ce soit. Le fait d’être malade prend suffisamment de temps.

Aider les personnes confrontées à des problèmes de santé voyager, travailler et étudier de manière plus inclusive. Concrètement, un exemple pourrait m’assurer que quelqu’un qui a besoin de médicaments spéciaux les obtienne en cas de besoin.

Nous disposons de nombreuses données présentant les avantages d’avoir une personne présentant des diagnostics en tant que travailleur. Avoir un emploi est une tâche énorme pour chaque personne, mais surtout pour une personne qui est confrontée à un diagnostic. 2024 est une année cruciale pour améliorer le niveau d’éducation et améliorer la situation grâce à la sensibilisation aux maladies, en l’occurrence la sclérose en plaques. Existe-t-il déjà des projets sur ce sujet? Oui, mais je souhaite voir un projet au niveau de l’UE dans lequel chaque pays peut bénéficier du projet, afin d’avoir le même niveau de sensibilisation et de connaissance qu’en Belgique et en Croatie. Certaines améliorations ont déjà été apportées, mais il est nécessaire d’en faire davantage, où les personnes atteintes de maladies chroniques peuvent défendre notre maladie et nos besoins.

La prise en compte de la voix des patients dans la recherche est une étape essentielle vers une approche des soins de santé davantage centrée sur le patient. En associant activement les patients au processus de recherche, nous pouvons obtenir des informations et des perspectives précieuses qui enrichissent notre compréhension des questions de santé, des résultats des traitements et de la qualité des soins. Cette idée vise à promouvoir l’engagement des patients dans la recherche et à encourager les partenariats de collaboration entre chercheurs et patients. La participation des patients garantit une compréhension globale des questions de santé, en alignant les objectifs de recherche sur les besoins et les priorités des patients. En outre, les contributions des patients affinent les méthodes, ce qui se traduit par des conceptions de recherche centrées sur le patient et sensibles sur le plan culturel. Ensemble, plaidons en faveur d’un environnement de recherche plus inclusif qui associe activement les patients.

L’un des défis majeurs auxquels sont confrontés les individus, en particulier les jeunes disposant de ressources financières limitées, lorsqu’ils se livrent à des activités de randonnée en Europe, consiste à garantir des aménagements appropriés. Dans la plupart des pays européens, cette pratique est actuellement interdite, avec des sanctions sévères en cas de non-respect. Dans le même temps, les coûts croissants des hôtels, des motels, des hôtels et des campings chaque année rendent même la forme la plus fondamentale de déplacement très inaccessible aux jeunes et aux ménages économiquement défavorisés; en soi, le camping sauvage ne ruine ni ne perturbe l’environnement, il n’a aucun effet sur la faune et la flore, il est en réalité encore plus respectueux de l’environnement que les vacances traditionnelles.

Je propose de mettre en œuvre une idée qui cible les universités de tous les pays européens, en particulier dans les domaines de la santé et du sport. Le concept de base consiste à attribuer une valeur de crédit déterminée, allant de 0.5 à 1.5 ECTS (système européen de transfert et d’accumulation de crédits), aux étudiants inscrits dans des programmes de facultés qui pratiquent activement le sport tout au long de chaque semestre universitaire. La présente proposition vise à lutter contre les modes de vie sédentaires et à promouvoir des habitudes saines chez les jeunes, étant donné que les comportements sédentaires représentent un défi majeur dans les pays en développement. Au sein de l’Union européenne, plusieurs nations présentent un faible niveau de participation des jeunes dans le sport. En adoptant cette approche, les facultés peuvent encourager et faciliter activement l’intégration des activités physiques dans les campus universitaires, contribuant ainsi au bien-être général des étudiants. Une stratégie viable pour la mise en œuvre de cette initiative implique que les facultés recherchent des financements spécifiquement créés à cette fin et mettent ensuite en place des infrastructures et des ressources appropriées pour soutenir les pratiques actives en matière de santé sur leurs campus.

Les composés per- et polyfluoroalkyles (PFAS) sont souvent associés à nous. Afin de prévenir les effets négatifs des PFAS sur notre santé et l’environnement, il convient d’introduire une obligation d’étiquetage à l’échelle de l’UE. Cela nous permettrait de savoir si les produits que nous utilisons contiennent des PFAS et s’ils présentent un risque pour notre santé ou pour l’environnement. Les PFAS sont liés à des risques pour la santé tels que le cancer et les lésions hépatiques, et ils polluent également l’environnement, y compris les eaux souterraines. En raison de leur longévité, ils peuvent causer des dommages importants à l’environnement. Malgré les risques connus pour la santé et l’environnement, rien n’a été fait pour empêcher l’utilisation des PFAS. Par conséquent, je demande la mise en œuvre d’un système d’étiquetage à l’échelle de l’Union afin d’accroître la transparence. Cela nous fournirait les informations nécessaires pour faire des choix éclairés sur les produits que nous utilisons et encouragerait les fabricants à rechercher d’autres ingrédients plus sûrs. En fin de compte, cela contribuerait à protéger à la fois notre santé et l’environnement.

En ce qui concerne l’électrification de nos infrastructures de mobilité, une trop grande attention a été accordée aux véhicules électriques et aux infrastructures de recharge requises pour les véhicules électriques. Toutefois, les vélos électriques et les trottinettes électriques sont 15 fois plus efficaces sur le plan énergétique que les véhicules électriques (compteur * passager/Jules), étant donné que la voiture a besoin d’énergie pour déplacer une masse inutile. En outre, plus de la moitié des trajets quotidiens sont inférieurs à 3 milles, ce qui est facile à utiliser pour les options d’électromobilité. Outre ces avantages remarquables, la promotion et le développement d’infrastructures pour ce moyen de transport efficace suscitent peu d’intérêt politique. Nous avons besoin d’une station d’accueil et de recharge commune à l’échelle de l’UE pour les véhicules électriques à mobilité réduite, qui permette à chaque producteur de vélos électriques de concevoir ses vélos électriques et ses trottinettes conformes aux normes de l’UE en matière d’accueil et de recharge dans tous les États membres de l’EU-27. Cette infrastructure conduira à une adoption dans le domaine de l’électromobilité, ce qui permettra aux propriétaires privés de sécuriser et de facturer leurs vélos électriques dans la rue, de réduire la dispersion de la location de vélos électriques et de trottinettes dans les villes en fournissant un espace d’accostage désigné et de réduire les coûts opérationnels des entreprises d’électromobilité, réduisant ainsi les prix et augmentant la demande des consommateurs.

Les «ODD» permettent de lancer des projets en rapport avec les différents thèmes qu’ils représentent. Elles permettent aux institutions et aux citoyens de mieux comprendre qui est visé et dans quel but, par exemple, une loi est adoptée.

Non seulement l’utilisation de l’eau est plus hygiénique et plus propre que celle du papier hygiénique, mais elle est également meilleure pour l’environnement. La personne utilise en moyenne 85 rouleaux de papier hygiénique par an, ce qui pourrait être nettement inférieur lorsque les bidets de toilette deviennent plus généralement acceptés au sein de l’UE.

Notre mission est de laisser une planète moins polluée pour les générations futures que nous ne l’avons tous trouvé, en soulignant une fois de plus la valeur fondamentale de la santé. Si nous parlons de santé, nous ne pouvons ignorer le sport. Nous voulons introduire une idée d’un sport durable qui puisse être pratiqué en connaissance de cause et bénéficier à l’individu et à son environnement. Nous souhaitons créer des équipements pour sensibiliser davantage la communauté, les gouvernements et les organisations au véritable concept de santé, au concept réel de pratique du sport et au véritable concept de sauvegarde de l’écosystème, sachant que le sport ne peut être pratiqué dans un environnement compromis et qu’il nuit également à la santé.

Le réseau européen des athlètes étudiants pourrait favoriser les échanges entre les nations et rendre les problèmes visibles pour les établissements concernés.

L’endométriose est une maladie invalidante qui touche plus de 190 millions de personnes dans le monde. Cette affection provoque de graves crampes, des douleurs chroniques et une infertilité, et les patients attendent souvent une décennie avant de recevoir un diagnostic correct. Malgré sa prévalence, la cause de la maladie reste inconnue et les traitements sont principalement axés sur la gestion des symptômes. L’absence d’action politique sur cette question dans l’UE est inacceptable. Des millions de personnes en Europe souffrent de la maladie, ce qui a une incidence sur leur bien-être, leurs perspectives d’emploi et leurs possibilités d’éducation. Nous ne pouvons pas laisser perdurer cette situation. Nous devons prendre des mesures immédiates pour créer une stratégie européenne de l’Endométriose afin d’améliorer la vie de millions de patients en Europe. En collaborant à des campagnes de sensibilisation, en soutenant des projets de recherche communs entre les États membres et en créant un entrepôt commun de données sur l’endométriose, nous pouvons œuvrer à un avenir meilleur pour les patients atteints d’endométriose dans toute l’Europe. Les souffrances de ces patients ne doivent plus être ignorées. Il est temps pour l’UE de donner la priorité à la recherche sur l’endométriose et de soutenir les personnes touchées par cette maladie. Ensemble, nous pouvons faire la différence et créer un avenir meilleur pour toutes les personnes touchées par l’endométriose en Europe.

Nous devrions être de plus en plus préoccupés par les effets du changement climatique sur nos organes. La crise climatique a provoqué des inondations catastrophiques, des vagues de chaleur et des sécheresses dans toute l’Europe, ainsi que des saisons de pollen prolongées. Les données disponibles montrent que ces aléas climatiques entraînent une aggravation des symptômes de la maladie, des problèmes de mobilité et une augmentation de la consommation de médicaments.

La qualité de vie est un débat essentiel sur la santé et doit faire partie des discussions sur le climat au niveau de l’UE.

Interdire l’utilisation du glyphosate, herbicide utilisé pour lutter contre les mauvaises herbes, dans l’Union européenne, qui est susceptible d’être cancérogène et nocif pour notre santé.

Les maladies chroniques rendent les jeunes extrêmement vulnérables et la COVID-19 a exacerbé le problème, en perturbant l’accès aux soins de santé, en faisant preuve d’une extrême prudence quant à la vaccination et en fournissant des informations non structurées. L’Europe dispose d’un grand potentiel de recherche pour faire progresser les connaissances sur les maladies chroniques. Les avancées médicales révolutionnaires nécessitent davantage d’investissements européens, de coopération et de systèmes de soins de santé intégrés qui puissent utiliser la recherche pour lancer des essais cliniques.

Nous devons:

• Créer des centres d’excellence européens pour des maladies spécifiques.
• Élaborer des registres de patients de l’UE pour les maladies difficiles, en particulier les maladies respiratoires, qui rendent les patients vulnérables aux maladies graves liées à la COVID-19.

Il existe un manque de sensibilisation aux défis auxquels sont confrontés les jeunes qui vivent avec des maladies ou des maladies chroniques dans les écoles, les lieux de travail et les sociétés. Il en résulte une exclusion sociale; mais il y a une solution. Les jeunes patients ne peuvent pas participer aux mêmes activités et initiatives formalisées par l’UE, dans les espaces verts, les transports, les écoles et les grands événements.

Nous voulons que l’UE adopte une approche de la législation qui intègre la santé dans toutes les politiques, afin d’améliorer la qualité de vie des jeunes atteints de maladies chroniques tout en continuant à aborder les questions liées à la politique environnementale, à l’économie, à la culture, etc. 

Il convient de garantir à chaque citoyen un niveau minimal de soins de santé, indépendamment de son revenu ou de son passeport européen. Nous devons garantir:

• tarification équitable et normalisée des médicaments dans toute l’Europe
• égalité d’accès aux traitements innovants et aux médicaments vitaux
• délais d’attente similaires pour les opérations et les procédures
• des soins de suivi de la COVID-19 équitables et équitables pour tous ceux qui ont contracté la maladie

C’est une année de turbulences pour nos systèmes de soins de santé dans le contexte de la pandémie de COVID-19. Ne serait-il pas une grande source de résilience pour inciter les États membres de l’UE à suivre un certain niveau de soins de santé et contribuer à leur financement dans l’ensemble de la région en cas de futures épidémies de virus? L’UE a besoin d’un système de soins de santé universel doté d’un budget partagé, auquel tous les États membres contribuent. Ce budget devrait garantir un salaire égal pour les professionnels de la santé et un niveau de soins égal pour tous les citoyens européens.

Il y a trop d’enfants atteints d’autisme et, en outre, les traitements et les thérapies vitales coûtent généralement cher. Les familles peinent à apporter ce soutien.

Les avantages pour la société en matière de soutien aux enfants autistes sont énormes: ils sont des membres talentueux, intelligents et intelligents de la société qui peuvent contribuer à de nombreux domaines de la vie. Subventionner ou financer ce traitement permettrait d’atténuer ce stress de la part des familles.

Une politique plus libérale en matière de drogue peut contribuer à résoudre les problèmes liés à la drogue. Lorsque des substances sont autorisées, les citoyens sont plus susceptibles de les utiliser de manière responsable. En outre, étant donné que les substances seraient vendues dans des magasins légaux plutôt que par des réseaux clandestins illégaux, il serait plus facile de restreindre l’accès des mineurs aux drogues. 

Les organismes génétiquement modifiés (OGM) peuvent servir de substituts respectueux de l’environnement aux pesticides et aux intrants similaires. Une augmentation de leur utilisation peut conduire à une protection accrue des sols, à une réduction de la consommation d’énergie dans les exploitations agricoles, à une augmentation de la production et à une réduction de la production de déchets alimentaires.

Les manifestations sportives ne bénéficient actuellement pas d’un soutien suffisant de la part des gouvernements et des institutions centrales. L’UE devrait promouvoir et investir davantage dans le sport.

Par exemple, les sportifs qui remplissent les conditions requises pour participer à des compétitions internationales devraient bénéficier d’un financement pour participer à ces compétitions. Dans certains cas, comme dans le cas de l’équipe du Judo portugais, les sportifs ne sont pas en mesure de participer à des compétitions internationales en raison d’un manque de financement. Les sportifs devraient également bénéficier d’une aide pour être admis dans les universités.

Les dépenses consacrées aux campagnes de promotion du sport devraient augmenter et les initiatives sportives compétitives à l’échelle européenne devraient être encouragées.

Depuis le début de la pandémie, tout le monde attendait l’invention d’un vaccin, car il est censé être le seul moyen de revenir à la vie normale avant la COVID-19. Nous disposons désormais de plusieurs types de vaccins, mais certaines personnes s’y opposent.

En Géorgie, le mouvement anti-vaxxer est assez fort. Dans de nombreux cas, la cause en est le manque de connaissances. De nombreuses personnes pensent que le vaccin est dangereux. Les autorités locales devraient organiser des manifestations, des réunions en ligne et faire de la publicité pour sensibiliser à la vaccination contre la COVID-19 et à ses avantages.

Nous devrions légaliser le cannabis dans tous les États membres de l’Union européenne. Cela permettra de mettre un terme à la criminalité organisée et aux mafias et d’accroître les recettes ainsi que l’emploi.

Enoutre, les entreprises du secteur de l’alcool et du tabac devraient être tenues responsables. Bien que l’alcool et le tabac soient beaucoup plus dangereux que le cannabis, ils sont légaux depuis de nombreuses années. Les entreprises devraient être tenues de rentrer dans le système de santé pour compenser les maladies auxquelles elles contribuent.

Un grand nombre d’études scientifiques et sociales soulignent l’importance de l’ éducation sexuelle au niveau de l’enseignement secondaire. Les jeunes adolescents ont besoin d’informations pratiques et factuelles.

Dans certaines communautés, les questions liées à la sexualité sont tabou et les gens ne les discutent pas dans les foyers, les écoles et les centres. De ce fait, les adolescents sont menacés d’infections sexuellement transmissibles, de maladies mentales et de problèmes de santé chroniques, ainsi que de discrimination à l’égard des LGBTQ et de harcèlement scolaire.

L’un des défis à relever à cet égard est le manque d’enseignants possédant les connaissances et la formation nécessaires pour diffuser des informations appropriées et correctes sur la santé sexuelle et génésique. Parmi les obstacles supplémentaires figurent l’opposition des dirigeants culturels et religieux, ainsi que l’absence d’éducation au sexe et à la santé génésique en général, tant au niveau local qu’au niveau de l’UE.

Unifions et fournissons aux enseignants les informations adéquates, soutenues par des scientifiques et des spécialistes de la santé, comme point de départ.

Nous avons besoin d’une plus grande éducation aux droits de l’homme en médecine: il y a trop de professionnels de la santé qui refusent de s’occuper des patients LGBT + et violent les droits des femmes pendant la période postnatale par des malversations telles que la «couture du mari», une couture supplémentaire médicalement inutile après la naissance. En outre, un nombre important de professionnels de la santé refusent toujours le droit à l’avortement ou aux contraceptifs. 

Réglementer et unifier la prévention et l’accès aux traitements pour les formes mortelles mais curables de cancer, étant donné que certains pays affichent des taux de survie nettement plus faibles que d’autres dans l’ensemble de l’UE. Grâce à l’accès à un marché ouvert des solutions médicales, nous pouvons lutter contre ces maladies mortelles.

Légaliser le suicide assisté dans toute l’UE.